Pour être efficace, la lettre doit répondre aux attentes du recruteur par l’énumération d’atouts originaux et sécurisants. Mais ceux-ci doivent être choisis parmi tous les points forts du candidat.
1. LES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE POINTS FORTS
1.1. Les aptitudes
Les aptitudes sont des qualités physiques ou intellectuelles. Elles sont mises en évidence dans certaines circonstances, notamment lorsque l’individu doit résoudre une difficulté particulière.
Les expériences sollicitent l’intervention de ces dispositions naturelles et occasionnent leur développement.
Les aptitudes doivent être illustrées par les circonstances dans lesquelles elles se sont manifestées. Ces exemples ont, en effet, un rôle de preuve indispensable.
Par exemple, il faut écrire « ... sens de l’organisation confirmé lors de mon dernier stage » et non pas : « J’ai le sens de l’organisation » sans autre référence.
1.2. Les compétences
Les compétences correspondent au savoir et au savoir-faire.
Elles peuvent être théoriques ou pratiques.
Il peut se trouver, dans certaines professions dites « intellectuelles », que certaines maîtrises techniques ou physiques soient fort utiles. Par exemple la pratique d’un logiciel, d’un dialecte ou d’un sport. Il serait alors dommage de ne pas les signaler. Un savoir-faire manuel peut être le résultat particulièrement apprécié d’un long apprentissage.
Les compétences sont acquises par le biais des études, des stages, mais aussi à l’occasion de voyages, de recherches personnelles et d’activités de loisir.
Là encore, prenez soin de relever les circonstances dans lesquelles tel savoir ou savoir-faire a pu être intégré et, surtout, appliqué.
Par exemple, il vaut mieux écrire : « Ce poste me permettrait d’exploiter des connaissances en fiscalité des entreprises, confirmées lors de mon stage en cabinet d’expertise comptable », plutôt que : « Je possède des connaissances en fiscalité des entreprises utiles pour ce poste. »
1. LES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE POINTS FORTS
1.1. Les aptitudes
Les aptitudes sont des qualités physiques ou intellectuelles. Elles sont mises en évidence dans certaines circonstances, notamment lorsque l’individu doit résoudre une difficulté particulière.
Les expériences sollicitent l’intervention de ces dispositions naturelles et occasionnent leur développement.
Les aptitudes doivent être illustrées par les circonstances dans lesquelles elles se sont manifestées. Ces exemples ont, en effet, un rôle de preuve indispensable.
Par exemple, il faut écrire « ... sens de l’organisation confirmé lors de mon dernier stage » et non pas : « J’ai le sens de l’organisation » sans autre référence.
1.2. Les compétences
Les compétences correspondent au savoir et au savoir-faire.
Elles peuvent être théoriques ou pratiques.
Il peut se trouver, dans certaines professions dites « intellectuelles », que certaines maîtrises techniques ou physiques soient fort utiles. Par exemple la pratique d’un logiciel, d’un dialecte ou d’un sport. Il serait alors dommage de ne pas les signaler. Un savoir-faire manuel peut être le résultat particulièrement apprécié d’un long apprentissage.
Les compétences sont acquises par le biais des études, des stages, mais aussi à l’occasion de voyages, de recherches personnelles et d’activités de loisir.
Là encore, prenez soin de relever les circonstances dans lesquelles tel savoir ou savoir-faire a pu être intégré et, surtout, appliqué.
Par exemple, il vaut mieux écrire : « Ce poste me permettrait d’exploiter des connaissances en fiscalité des entreprises, confirmées lors de mon stage en cabinet d’expertise comptable », plutôt que : « Je possède des connaissances en fiscalité des entreprises utiles pour ce poste. »
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